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Valéria aurai eu 17 ans le 11/04/2007,elle est partie le 7/04/2007au petit matin...
Pourquoi???
Parce qu' en sortant de boite,elle a pris place dans une voiture..
Dans cette voiture,le conducteur avait bu...
Le conducteur,grisé par la vitesse à 150Km/h,a loupé le rond point,puis,ne pouvant plus rien controler,a percuté de plein fouet un mur...
Sur les 4 occupants du véhicule,un ange,prénommée Valéria s'est envolée vers le ciel...elle aurait eu 17 ans le 11/04/2007...
Samedi 7Avril 2007, vers 5 heures du matin, boulevard de Lamballe, à Fleury-les-Aubrais. Un jeune Fleuryssois de 22 ans a perdu le contrôle de sa voiture, une Renault Mégane, laquelle a heurté un véhicule en stationnement avant de terminer sa course contre le muret d'une habitation. La passagère avant de la voiture, une adolescente de 17 ans, originaire également de Fleury-les-Aubrais, est décédée sous la violence du choc.
Elle s'appelait Neda...
Elle est devenue le symbole de la répression menée par le régime iranien contre les manifestants. L'agonie de Neda Agha-Soltan, une jeune Téhéranaise, a été filmée avec un téléphone portable dans la manifestation du samedi 20 juin, après qu'elle a été touchée par un tir en pleine poitrine
Elle s'appellerait Neda. On ne sait pas grand-chose d'elle. Mais son visage ensanglanté, dont l'image circule sur Internet depuis le samedi 20 juin, est devenu l'icône du mouvement qui conteste la réélection du président iranien, Mahmoud Ahmadinejad.
Il y aurait deux vidéos de Neda, présentées comme des images de sa mort en direct, lors d'une manifestation, samedi, à Téhéran. Les séquences durent entre quinze et quarante secondes et semblent être des films amateurs. Sur la plus longue, une jeune femme vêtue d'un jean s'effondre sur le bitume. Deux hommes se ruent sur elle pour lui porter secours. Ses yeux grands ouverts semblent regarder la caméra. Puis, alors que du sang commence à couler de sa bouche, une troisième personne lui vient en aide. "Neda, n'aie pas peur !", "Neda reste !", lui crierait-on.
Depuis le début des manifestations, dans la foulée du scrutin présidentiel du 12 juin, les journalistes étrangers ont été progressivement interdits de séjour en Iran. Seuls les médias d'Etat iraniens diffusent des informations. Aussi, les vidéos étaient une aubaine pour le mouvement de contestation. Selon le Guardian, c'est un Iranien vivant aux Pays-Bas qui aurait reçu et diffusé en premier l'une d'elles, suite au courriel d'un ami qui participait à la manifestation.
Dès lundi, on retrouvait le visage de Neda aux quatre coins du monde, à Los Angeles comme à Istanbul, hissé sur des pancartes dans les cortèges de soutien à l'opposition. Sur l'encyclopédie en ligne Wikipédia, une page entière lui est consacrée. Parallèlement, des photos montrant une jeune femme souriante, parfois voilée, parfois tête nue, ont été mises en ligne, présentées comme des portraits de Neda avant sa mort. L'une d'elles, jugée finalement fausse, a été retirée du fil de l'Agence France-Presse (AFP), mardi 23 juin.
UNE IDENTITÉ FLOUE
Dans un contexte où chaque camp joue rumeur contre rumeur, l'identité de Neda reste floue. Elle s'appellerait Neda Agha-Soltan, avait une vingtaine d'années et aurait été étudiante. Dans une interview à la BBC Persian TV, mardi, un homme qui se présente comme son fiancé raconte comment, selon lui, Neda ne participait pas aux manifestations. Elle aurait été coincée dans les embouteillages, et c'est en sortant du véhicule qu'elle aurait été tuée par balles, "probablement par des bassidjis" - des milices islamiques. Sur le fil de l'agence Associated Press (AP), des images d'une sépulture couverte de fleurs, qui serait celle de Neda, sont également créditées de ce fiancé.
Dans les cortèges, Neda est devenue l'égérie de toutes les Iraniennes qui luttent pour l'égalité et le droit des femmes. Depuis plusieurs années, elles tentent de réunir un million de signatures pour obtenir plus de droits. A l'inverse de son époux, une Iranienne ne peut, par exemple, demander le divorce, sauf circonstances exceptionnelles. Or, lors des manifestations, comme depuis deux ans, un grand nombre de femmes engagées ont été arrêtées et condamnées à des peines de prison.
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